Depuis l’arrivée du moustique tigre sur notre territoire, les scientifiques travaillent sur son comportement pour nous aider à agir.
C’est ainsi que nous nous sommes rendus compte que la moitié des gites larvaires étaient situés dans les coupelles et récipients de moins de 10 litres.
A l’inverse les très grandes zones contiennent assez peu de gites. L’eau se charge moins vite en nutriments, et les prédateurs sont plus attirés par ces grandes étendues d’eau.