La V3 de zzzapp est désormais disponible
Forts des retours d’expériences de nos clients historiques, nos équipes techniques ont travaillé tout l’hiver pour concevoir une nouvelle application
Pour lutter contre les moustiques, il est important de bien les connaître
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La farine de moutarde pourrait tuer les larves de moustique
Début septembre 2023, une opération de démoustication aérienne programmée par les pouvoirs publics a été annulée à Saintes devant la
La femelle moustique tigre pond ses œufs sur les parois de réceptacles qu’elle sent pouvoir être mis en eau. En effet lorsque l’eau s’évapore, elle capte avec ses pattes le léger film blanc qui reste sur les parois, lui permettant de savoir que cette zone peut être immergée. Les œufs sont blanc au moment de la ponte puis s’assombrissent. Pour repérer des œufs sur une paroi, passez un doigt dessus : si une petite poussière grise est présente, vous venez de trouver des œufs de moustique!
Le cycle de développement du moustique passe par quatre étapes distinctes : l’œuf, la larve, la nymphe et l’adulte. Les 3 premières phases sont aquatiques, tandis que la dernière est aérienne. Un cycle complet peut durer pour le Moustique Tigre moins de 7 jours. En une saison, on peut ainsi voir passer entre 25 et 30 générations de moustiques (l’équivalent de 2400 ans pour l’homme!)
L’arrivée des Moustiques Tigres dans votre commune contraint vos administrés et tout le personnel communal à changer complètement les habitudes du quotidien. Veiller à ce que chaque gite larvaire soit régulièrement éliminé parait très facile : il suffit de nettoyer, vider, retourner… partout, tout le temps! En fait ce n’est pas si simple! Pour convaincre vos habitants d’agir, la méthode est toujours la même : réunions publiques, réunions de quartier, journal municipal, site internet, réseaux sociaux, même du porte à porte! Toute cette énergie dépensée sans avoir aucun retour sur l’efficacité des actions que vous avez engagé! Malheureusement ce sera dorénavant tous les ans pareil. Vous aimeriez gagner du temps et améliorer fortement votre efficacité ? Utilisez un outil qui vous permet : Notre mission : vous accompagner dans la montée en compétence de vos citoyens sur les sujets à impact qui nécessite la mobilisation du plus grand nombre.
Dès qu’une eau est « stagnante », le soleil, le CO2 et les sels commencent à contribuer à la fabrication du phytoplancton. Celui-ci est à son tour ingéré par toutes sortes d’espèces vivantes : le zooplancton, puis les larves en tout genre dont les larves de moustiques. C’est la magie de la vie. La larve de moustique aspire l’eau avec ses mandibules et la filtre pour ingérer le plancton, les algues et toute la matière organique. C’est ainsi qu’en quelques jours, elle peut acquérir les nutriments nécessaires pour devenir plus tard un beau moustique… de plus!
Les moustiques sont attirés par le dioxyde de carbone (CO2) car il est l’un des principaux indicateurs de la présence de mammifères et d’autres animaux à sang chaud. Les moustiques femelles ont besoin de sang pour nourrir leurs œufs. Elles utilisent des signaux olfactifs pour détecter leurs hôtes potentiels. Le CO2 est un indicateur de la respiration des animaux à sang chaud et les moustiques sont capables de détecter des quantités très faibles de CO2 dans l’air. Les moustiques utilisent des récepteurs situés sur leurs antennes pour détecter les changements de concentration de CO2 dans l’air. Ils détectent également le CO2 à travers des récepteurs situés sur leurs palpes maxillaires, (des structures sensorielles situées près de leur bouche).
Le moustique est une espèce qui s’adapte rapidement à son environnement grâce à sa capacité d’évolution rapide Toute espèce est vouée à se reproduire et à enregistrer des mutations génétiques, souvent issues d’erreurs de reproduction de l’ADN. Certaines mutations sont inutiles, d’autres néfastes à l’espèce, et d’autres apportent une différentiation qui permet à l’individu atteint de cette mutation de mieux survivre dans des conditions de vie changeantes. Dans cette ère de changement climatique important, nous nous apercevons de plus en plus souvent que certains animaux ou certaines plantes ont enregistré des mutations qui leur permettre de mieux s’adapter à leur environnement. Ainsi des chercheurs estiment qu’en l’an 3000 soit dans 1000 ans, les humains vivront facilement 120 ans. Leur taille atteindra 1,95 m et leur peau sera couleur café. 1000 années, c’est l’équivalent de 12,5 générations d’hommes. Savez vous en combien de temps les moustiques connaissent 12,5 générations? en environ 3 mois! En une année, il est inévitable que les moustiques aient acquis un certain nombre de mutations, ce qui leur permet par exemple de s’adapter très rapidement aux insecticides que l’homme répand.
La farine de moutarde pourrait tuer les larves de moustique
C’est vieux comme le monde : pour notre espèce humaine dominante, la terre nous appartient et nous pouvons en disposer comme bon nous semble. Nous sommes éventuellement prêts à la partager avec les espèces qui peuvent nous « servir » à long terme, par exemple celles qui pollinisent les fleurs et donc sont à l’origine de notre nourriture. Mais attention à ne pas rentrer dans la catégorie des « nuisibles », rebaptisée récemment « ESOD » : « Espèces susceptibles d’occasionner des dégâts », sous-entendu des impacts négatifs sur le bon déroulement de la vie de l’homme. Si la recherche de bonnes conditions de vie est tout à fait compréhensible, nous voyons bien que l’extension du territoire que nous entendons contrôler totalement pose de nombreuses questions éthiques et philosophiques. Nous n’allons pas refaire ici le débat. Chez zzzapp, nous sommes simplement convaincu que ce n’est pas une bonne chose de chercher à éradiquer une espèce présente sur terre, au titre qu’elle nous dérange, et que toute espèce joue un rôle dans l’écosystème fragile dans lequel nous évoluons. C’est valable également pour les moustiques. Voici 3 bonnes raisons de ne pas chercher à éradiquer les moustiques mais de simplement les éloigner de nos lieux de repos : La plupart des espèces d’oiseaux (dont les hirondelles, martinets, mésanges) De nombreux insectes (araignées, libellules, scutigère véloce, qui mange aussi les punaises de lit, guêpes…) Tous les batraciens (qui se nourrissent non seulement des adultes mais aussi des larves) De nombreux mammifères (chauves-souris, hérissons, taupes…) De nombreux poissons Le sang que les
Qu’entend-on par eau stagnante ? Pour agir au quotidien, il faut comprendre ce dont on parle. La compréhension de ce qu’est une eau stagnante permet directement de mieux appréhender pourquoi il faut les vider pour éviter la prolifération des moustiques ! L’eau stagnante est une « nappe aquatique » immobile au premier abord. Elle est avant tout la conséquence de peu ou pas d’écoulement ni de circulation, elle reçoit très peu de nouvel apport d’eau et en perd également peu. Dans ces conditions peut se développer un écosystème qu’on appelle « lentique » : c’est un biotope (lieu de vie défini par des caractéristiques uniformes) et des êtres vivants propres à ces eaux calmes. Cela peut aller d’un très faible volume d’eau (nos fameuses coupelles de pots de fleurs), jusqu’au Lac Baîkal dont la profondeur atteint 1740 m ! Généralement issu des eaux de pluies, les eaux stagnantes peuvent être permanentes (l’évaporation n’est pas suffisante pour compenser les précipitations), ou temporaires (la zone s’évapore plus vite que le rythme des précipitations). Les moustiques, comme de nombreux autres insectes, adorent ces eaux stagnantes, qu’elles soient permanentes ou temporaires, mais pour quelles raisons ? Une eau stagnante devient rapidement « eutrophique », c’est-à-dire qu’elle s’enrichit en éléments nutritifs (phytoplancton) et s’appauvrit en oxygène. Dès lors, toutes sortes de larves d’insectes disposent de suffisamment de nutriments pour pouvoir se développer en quelques jours et constituent ce qu’on appelle le « zooplancton ». Dans les eaux stagnantes permanentes, l’écosystème est en place avec son lot de prédateurs. Il y a donc un certain équilibre entre ce qui
Une espèce présente bien avant l’homme ! Depuis des centaines de millions d’années, la présence des moustiques fait partie intégrante de l’écosystème terrestre. Mais leur interaction avec l’espèce humaine est marquée par une dualité fascinante et dévastatrice. Ces insectes appartenant à la famille des Culicidae captivent l’attention des scientifiques, des chercheurs et du grand public en raison de leur capacité à proliférer rapidement et de leur rôle en tant que vecteurs de maladies mortelles pour l’homme. Une grande diversité d’espèce et une spécialisation Il existe aujourd’hui près de 3500 espèces de moustiques réparties à travers le monde, chacune s’étant spécialisée pour prospérer dans des habitats spécifiques, qu’il s’agisse de zones humides, de forêts, de déserts ou plus récemment de zones urbaines créées par l’Homme. Une adaptation très rapide aux changements de l’écosystème La capacité des moustiques à s’adapter rapidement aux évolutions de leur écosystème a contribué à leur impressionnante abondance numérique. On estime qu’il y a des milliards de milliards de moustiques sur la planète. Cette prolifération est due à leur cycle de vie rapide, de l’œuf à l’adulte, et à leur capacité à tirer parti de ressources variées pour se nourrir et se reproduire. Leur présence est ubiquitaire, mais elle peut varier selon les saisons, le climat, la géographie, créant des épidémies locales de moustiques dans certaines régions.
Désormais notre solution zzzapp de mobilisation collective contre la prolifération des moustiques tigres est référencée sur la plateforme UGAP, la
Vous allez dire qu’on cherche la petite bête? Mais autant mettre en place des gestes qu’on n’a pas besoin de