C’est vieux comme le monde : pour notre espèce humaine dominante, la terre nous appartient et nous pouvons en disposer comme bon nous semble. Nous sommes éventuellement prêts à la partager avec les espèces qui peuvent nous « servir » à long terme, par exemple celles qui pollinisent les fleurs et donc sont à l’origine de notre nourriture. Mais attention à ne pas rentrer dans la catégorie des « nuisibles », rebaptisée récemment « ESOD » : « Espèces susceptibles d’occasionner des dégâts », sous-entendu des impacts négatifs sur le bon déroulement de la vie de l’homme. Si la recherche de bonnes conditions de vie est tout à fait compréhensible, nous voyons bien que l’extension du territoire que nous entendons contrôler totalement pose de nombreuses questions éthiques et philosophiques. Nous n’allons pas refaire ici le débat. Chez zzzapp, nous sommes simplement convaincu que ce n’est pas une bonne chose de chercher à éradiquer une espèce présente sur terre, au titre qu’elle nous dérange, et que toute espèce joue un rôle dans l’écosystème fragile dans lequel nous évoluons. C’est valable également pour les moustiques. Voici 3 bonnes raisons de ne pas chercher à éradiquer les moustiques mais de simplement les éloigner de nos lieux de repos : La plupart des espèces d’oiseaux (dont les hirondelles, martinets, mésanges) De nombreux insectes (araignées, libellules, scutigère véloce, qui mange aussi les punaises de lit, guêpes…) Tous les batraciens (qui se nourrissent non seulement des adultes mais aussi des larves) De nombreux mammifères (chauves-souris, hérissons, taupes…) De nombreux poissons Le sang que les